Autant que les maux me lasserent.
Les envies me narguent,
Plus que les déceptions.
Pour une vie de plus,
Pour un amour impossible.
Pour une chimère,
Ou une désir de vivre.
Les vibrations me transportent,
Bien plus que le flux de mots me froissent.
Les mélodies m'emportent,
Autant que les vocables blessantes.
Pour un amour en sus,
Une vie imprenable.
Pour une futilité,
Déguisée d'utopie.
Mon coeur fais silence et s'interroge,
Se délectant de ce parfum boisé.
- Esterina, M. de Saint-Michel et Minofabbri aiment ceci