l'oiseau la mer et sur ma page blanche,
les galets,le sable , tout me ramène à toi ,
tu es mon île dans cet océan d'incertitudes ,
sur le papier et les lignes sinueuses de nos destinées ,
deux chemins qui serpentent sous le ciel,
comme les ramures des grands arbres séculaires,
Ils s'entremêlent , inséparables , inaltérables,
même contre les assauts du vent qui déchire les voiles du temps ,
celui là même qui devenu un souffle,
une brise, caresse ton visage ainsi qu'une pensée ,
la mienne se nourrit de ton regard et d'un mot esquissé sur ta bouche , je t'aime !
Olivier HEBERT