Gaston, mon amour, ne pars pas avec gilo je veux faire ma vie avec toi, tiens lis ce beau poème que je t'ai écris avec mon coeur, mon âme et euh mes dix doigts...
Plus triste que dans une oubliette ou une prison
Comme en proie à un troll au regard enragé
Je guette sans cesse à l'horizon
Le prince qui partagera mon secret.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Prince gaston, le plus noble des seigneurs,
Ton si obséquieux bras de statue,
Emplit ma nuit glacée d'un peu de chaleur.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Et tes cheveux violet flotteront dans l'air,
Et tes yeux jaunes courageux partant au combat,
Viendront cueillir cette camomille, cette camomille solitaire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 21 000 regards,
Et faire de ma vie un chamoisé rêve pour toujours,
Portant au bout de ta lance mon si kaki foulard?
simone
Ode à Gaston
Started by lilyandra, Jul 30 2006 11:09 PM
6 replies to this topic
#1
Posted 30 July 2006 - 11:09 PM
#2
Posted 30 July 2006 - 11:14 PM
aya...
mes cheveux violets, mes yeux jaunes... ça va encore, mais ça quand même, c'est osé :
je t'aime aussi, pas d'inquiétude
mes cheveux violets, mes yeux jaunes... ça va encore, mais ça quand même, c'est osé :
Citation
Ton si obséquieux bras de statue,
Emplit ma nuit glacée d'un peu de chaleur.
Emplit ma nuit glacée d'un peu de chaleur.
je t'aime aussi, pas d'inquiétude
#3
Posted 30 July 2006 - 11:19 PM
Ce soir pourtant tu m'as avoué ta liaison avec gilo, je ne peux pas le supporter ô mon amour de toujours...
Tiens, et puis un fan m'a envoyé une lecture audio :
http://media.putfile.com/odeagaston
Tiens, et puis un fan m'a envoyé une lecture audio :
http://media.putfile.com/odeagaston
#4
Posted 30 July 2006 - 11:46 PM
Tenez, je vous retranscris l'histoire d'amour entre gaston et moi, j'en ai la larme à l'oail tellement c'est beau !
Un Amour Unique Sur Tlp
Lutèce n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Gaston. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Timidement, il frappa trois petits coups. Comme rien ne se passait, il allait insister lorsque la porte s'ouvrit sur Lilyandra. Elle était plus fourbe que jamais, et gratifia Gaston de ce sourire si magique dont elle avait le secret.
- Entre, lui dit-elle.
Gaston la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Lilyandra.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa Lilyandra. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Lilyandra...
Elle détourna la tête.
- Lilyandra, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Gaston.
Mais les mots ne venaient pas... alors Lilyandra passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions. Après avoir repris ses esprits, Gaston lança:
- Tu sais, je...
- Chut... fit Lilyandra.
- Je...
- Il n'y a pas de mots...
- Si...
- Non...
- Si... je t'aime, Lilyandra.
Celle-ci fut prise d'un sanglot:
- C'est vrai? Oh... moi... moi aussi mon amour!
- Plusieurs décennies se sont écoulées depuis que je t'ai connue. Et je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lilyandra.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus vénale que je n'ai jamais connue! La plus vénale de tout Lutèce! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si obséquieux...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce porc, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Gaston, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Lilyandra...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un mufier, en train de paitre à l'air libre. Près d'eux, Cabrel chantait ''Dans La Cabane Du Pecheur'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Gaston fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Botero, Lilyandra réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Gaston rouvrit les yeux.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de Gilonimo? Demanda Gaston.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... chamoisé!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!
Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Gilonimo l'ayant appris, il a crée son blog à la con, et tente désormais de séparer le couple pour qu'ils n'aillent pas se marier en Australie...
Un Amour Unique Sur Tlp
Lutèce n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Gaston. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Timidement, il frappa trois petits coups. Comme rien ne se passait, il allait insister lorsque la porte s'ouvrit sur Lilyandra. Elle était plus fourbe que jamais, et gratifia Gaston de ce sourire si magique dont elle avait le secret.
- Entre, lui dit-elle.
Gaston la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Lilyandra.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa Lilyandra. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Lilyandra...
Elle détourna la tête.
- Lilyandra, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Gaston.
Mais les mots ne venaient pas... alors Lilyandra passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions. Après avoir repris ses esprits, Gaston lança:
- Tu sais, je...
- Chut... fit Lilyandra.
- Je...
- Il n'y a pas de mots...
- Si...
- Non...
- Si... je t'aime, Lilyandra.
Celle-ci fut prise d'un sanglot:
- C'est vrai? Oh... moi... moi aussi mon amour!
- Plusieurs décennies se sont écoulées depuis que je t'ai connue. Et je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lilyandra.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus vénale que je n'ai jamais connue! La plus vénale de tout Lutèce! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si obséquieux...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce porc, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Gaston, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Lilyandra...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un mufier, en train de paitre à l'air libre. Près d'eux, Cabrel chantait ''Dans La Cabane Du Pecheur'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Gaston fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Botero, Lilyandra réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Gaston rouvrit les yeux.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de Gilonimo? Demanda Gaston.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... chamoisé!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!
Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Gilonimo l'ayant appris, il a crée son blog à la con, et tente désormais de séparer le couple pour qu'ils n'aillent pas se marier en Australie...
#5
Posted 30 July 2006 - 11:51 PM
superbe
c'est beau, c'est triste, c'est...
c'est beau, c'est triste, c'est...
Citation
ils étaient en haut d'un mufier, en train de paitre à l'air libre. Près d'eux, Cabrel chantait ''Dans La Cabane Du Pecheur'' en les regardant.
#6
Posted 31 July 2006 - 03:48 AM
exhibitionnistes
#7
Posted 31 July 2006 - 06:02 AM
Peut-on faire de la poésie sans être un peu exhib' ?
Je demande ça parce que cette nuit j'ai fait un rêve avec des extraits de films d'horreur, des scènes érotiques prononcées et de vieux magazines collectors, notamment le fameux "Cybernetica".
Je demande ça parce que cette nuit j'ai fait un rêve avec des extraits de films d'horreur, des scènes érotiques prononcées et de vieux magazines collectors, notamment le fameux "Cybernetica".
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