Courte Et Brève Impression Explicative
#1
Posted 20 September 2006 - 08:25 PM
Seul, je me trouvai donc sur ce lieu isolé où les ténèbres me cernèrent, mais, je ne sus jamais quelle main malfaisante a put me guider vers cette destinée !
Je demeurai ainsi isolement retiré dans l'errance impressive, face au miroir de mes victimes, indéfiniment seul dans ma lourde et double coquille de jeune soleil sombre, que je m'apprêtai à devenir en secret!
Durant presque un siècle lumière, je fus sphère au tréfonds des occultations glaciales, dégoûté de mon goût simulacre, martyre du mystère aussi puis d'une interminable ère ensuite, puisque je sustentai d'éternels vagues noires, et finis même à un époque par devenir l'une des nombreuses ailes errantes de la morosité!
C'est fut peut être une sensation esseulée de vivre dans le doute, une sensation plutôt opaline dans son genre, en tout cas, pour ma part, je la jugeai comme étant réellement le seul mirage aux traits rapprochés de l'étrange visage que me faisait peur ...mirage masqué qui me vit un soir, avec ses maintes parures variées!
Sur le sommet des vagues ramollies et des détresses mêmes, décidé à me céder en apparence au pire épithalame qui fut, fus -je, acte d'azimuté selon certain, mais sans doute artistique en même temps , non encore prémédité à ce jour sur les îles des fées !
Mon individuation dénatura sensiblement la contemplation éphémère et m'octroya l'élémentaire force d'une articulation cérébrale, essentielle et ses indices mais pas pour autant vitale, or démunie de toute fixation théorique, pouvant entièrement vitaliser en moi l'essence des radicelles invisibles, pour qui je fus fils aîné ! La postérité d'un non sens qui fut néantisé par nature.
Plusieurs calendriers sont désormais rangés et mémorisés par l'intuition, puis sculptés au passé sur le grand bec du bouffon jacasseur, décris avec précision à travers les mille millions de toiles solaires que l'on peut apprécier sur les folioles des supernovas!
Véracité dis-je, et seule grande maîtresse ayant réussie à prendre possession de mon système vocal fut ma volonté de comète, et au nom de la grande confidence télépathique, je assurerai déjà dans le temps qu'elle ne sera guère enterré elle aussi dans mon épave d'homme rangé pas le mal, la haine, le doute, le pessimisme, et toutes ces autres tares affectives!
Mon nihilisme fatal décompresse la somme de ma haine, si bien qu'actuellement je suis souvent citoyen dans ma baignoire à quatre rangées d'esclaves, de misérables mésopotamiens qui se dressent bêtement face aux ondes ennemies et m'évitent par ce fait, le supplice de me substituer en néant à jardiner et cuisiner ici et là, à travers mon cosmos de 34 mètre carré.
Aussi ces Féales dans leurs costumes de dévouées, n'ont d'utilité d'exister que celle qui réside dans l'appréciation naturelle de la nonchalance individualisée par mon art de futur dauphin !
Le bâbord de ma structure idéologique se distingue à 333° de la subconscience générale, délimitant sur tout le long le tribord erratique de la raison, de la conscience qui veille de nuit sur mon intime misère intérieur ! La somme de cette impression hautaine, que j'ai encore à ce jour fixé à la mémoire, au sujet de ces maintes complussions puritaines, se manifeste odieusement comme étant la seul source des mes prochaines perspectives d'ancien passeur, la vie! Le chant fredonné du passé raisonne comme l'écho du lointain souvenir, issu de mes plus belles toiles vinyliques, centrant çà et traçant là, dans le secret martial, la ligne de l'horizon sur laquelle dame étincelle s'affaire à tamiser la grâce des étoiles déniaisées!
Les perles fraternelles de mes yeux actionnent l'envie corporelle, temporisent le vide comme une proie savanienne! La raison florale adopte simultanément plusieurs flammes pour son propre usage ! Quelques devoirs de conscience affichent le besoin d'être analytiquement suspendus, le temps de s'atteler aux songes des mille et un mystères!
Des oranges bleues à l'entrée du temple temporel, au cœur de l'univers sans âme, se découvrent lors de mes absences, pour prêter allégeance, et sacrifier leur pulpe d'amour !
L'exotisme exorcisé se voit alors planer avec le peuple des vibrations célestes, peuple endormi dans les purgatoires des expressions affectées à mon amnésie, par l'ensemble de ses paramétrages attelés à cette courte et brève impression explicative
Je suis presque charmé par l'harmonie des envies sacralisées de ce pays sans nom, loués de beaucoup de privilèges éminents, surélever à l'image du vent dans son pinacle archaïque!
Demain, je me sentirai beaucoup mieux et la vie sera plus clémente avec mon lézard indigène!
#2
Posted 27 September 2006 - 12:23 AM
#3
Posted 27 September 2006 - 08:03 AM
Voilà. La faute est réparée. Merci qui ?
#4
Posted 07 October 2006 - 12:17 AM
Voilà. La faute est réparée. Merci qui ?
à serioscal bien sûr
#5
Posted 13 October 2006 - 05:43 PM
La poésie et son souffle pur, te conviennent mieux je crois.
Ne mélange pas, c'est pas bon.
Amitiés.
#6
Posted 13 October 2006 - 07:28 PM
La poésie et son souffle pur, te conviennent mieux je crois.
Ne mélange pas, c'est pas bon.
Amitiés.
#7
Posted 13 October 2006 - 10:26 PM
Tu peux ranger ton dictionnaire des synonymes, car employés sans queue ni tête, les mots que tu penses dominer perdent de leur superbe...
Pour ce qui est de ma capacité à me hisser à la hauteur de ton verbe ou de ta sensibilité, je me sens je l'avoue, largement en retrait. Tu irradies, tu surnages, et nous t'en remercions...Montaigne, il est vrai, peut aller se rhabiller.
Merci de partager ta sensibilité avec le commun des mortels, dont je suis, et de nous porter mon ami avisé, vers des cieux bien subtils.
Je me coucherai moins con ce soir.
Merci de ton aide, ma cécité est innocente, mais tu as su l'éclairer...de ton orgueil.
Allez, je me régale une dernière fois...Tiens, c'est aussi simple que ça : j'ai l'impression d'écouter les frères Bogdanov...
#8
Posted 13 October 2006 - 10:48 PM
D'ailleurs, mes frères de combat, bleuis par les chocs en première ligne, devraient être touchés.
C'est promis, nous boirons à la santé de tes muses au retour.
En souhaitant mon ami qu'elles s'accordent à la puissance émouvante de tes neurones...
Tout de même quelle lucidité aiguisée. Comment fais-tu Ô Homère pour vivre à nos côtés? Fuis, fuis, Le parthénon est en travaux, apporte je t'en prie, la dernière pierre à l'édifice. Car les Dieux sont avec toi.
Pssst...Homère, tant que tu y es, dans l'avion qui te conduira à Athènes, rélis le bescherell...L'orthographe et ses règles te dépassent, je le comprends, mais un texte sans une faute à chaque ligne, ça le fait plus.
Bisous mon Lucide.
#9
Posted 14 October 2006 - 12:41 AM
homere' post='345139' date='Sep 20 2006, 09:25 PM']
Sur cet étrange lieu, endroit hideux, peuplé de doute et de fantôme aux multiples visages, une tragique sensation vint me trouver! C'était une sensation pathétique de forme, noire de surface, qui s'empara de mon immonde impression affective, et là même et sur l'instant fut ma courte impression expressive!
Seul, je me trouvai donc sur ce lieu isolé où les ténèbres me cernèrent, mais, je ne sus jamais quelle main malfaisante a put me guider vers cette destinée !
Je demeurai ainsi isolement retiré dans l'errance impressive, face au miroir de mes victimes, indéfiniment seul dans ma lourde et double coquille de jeune soleil sombre, que je m'apprêtai à devenir en secret!
Durant presque un siècle lumière, je fus sphère au tréfonds des occultations glaciales, dégoûté de mon goût simulacre, martyre du mystère aussi puis d'une interminable ère ensuite, puisque je sustentai d'éternels vagues noires, et finis même à un époque par devenir l'une des nombreuses ailes errantes de la morosité!
C'est fut peut être une sensation esseulée de vivre dans le doute, une sensation plutôt opaline dans son genre, en tout cas, pour ma part, je la jugeai comme étant réellement le seul mirage aux traits rapprochés de l'étrange visage que me faisait peur ...mirage masqué qui me vit un soir, avec ses maintes parures variées!
Sur le sommet des vagues ramollies et des détresses mêmes, décidé à me céder en apparence au pire épithalame qui fut, fus -je, acte d'azimuté selon certain, mais sans doute artistique en même temps , non encore prémédité à ce jour sur les îles des fées !
Mon individuation dénatura sensiblement la contemplation éphémère et m'octroya l'élémentaire force d'une articulation cérébrale, essentielle et ses indices mais pas pour autant vitale, or démunie de toute fixation théorique, pouvant entièrement vitaliser en moi l'essence des radicelles invisibles, pour qui je fus fils aîné ! La postérité d'un non sens qui fut néantisé par nature.
Plusieurs calendriers sont désormais rangés et mémorisés par l'intuition, puis sculptés au passé sur le grand bec du bouffon jacasseur, décris avec précision à travers les mille millions de toiles solaires que l'on peut apprécier sur les folioles des supernovas!
Véracité dis-je, et seule grande maîtresse ayant réussie à prendre possession de mon système vocal fut ma volonté de comète, et au nom de la grande confidence télépathique, je assurerai déjà dans le temps qu'elle ne sera guère enterré elle aussi dans mon épave d'homme rangé pas le mal, la haine, le doute, le pessimisme, et toutes ces autres tares affectives!
Mon nihilisme fatal décompresse la somme de ma haine, si bien qu'actuellement je suis souvent citoyen dans ma baignoire à quatre rangées d'esclaves, de misérables mésopotamiens qui se dressent bêtement face aux ondes ennemies et m'évitent par ce fait, le supplice de me substituer en néant à jardiner et cuisiner ici et là, à travers mon cosmos de 34 mètre carré.
Aussi ces Féales dans leurs costumes de dévouées, n'ont d'utilité d'exister que celle qui réside dans l'appréciation naturelle de la nonchalance individualisée par mon art de futur dauphin !
Le bâbord de ma structure idéologique se distingue à 333° de la subconscience générale, délimitant sur tout le long le tribord erratique de la raison, de la conscience qui veille de nuit sur mon intime misère intérieur ! La somme de cette impression hautaine, que j'ai encore à ce jour fixé à la mémoire, au sujet de ces maintes complussions puritaines, se manifeste odieusement comme étant la seul source des mes prochaines perspectives d'ancien passeur, la vie! Le chant fredonné du passé raisonne comme l'écho du lointain souvenir, issu de mes plus belles toiles vinyliques, centrant çà et traçant là, dans le secret martial, la ligne de l'horizon sur laquelle dame étincelle s'affaire à tamiser la grâce des étoiles déniaisées!
Les perles fraternelles de mes yeux actionnent l'envie corporelle, temporisent le vide comme une proie savanienne! La raison florale adopte simultanément plusieurs flammes pour son propre usage ! Quelques devoirs de conscience affichent le besoin d'être analytiquement suspendus, le temps de s'atteler aux songes des mille et un mystères!
Des oranges bleues à l'entrée du temple temporel, au cœur de l'univers sans âme, se découvrent lors de mes absences, pour prêter allégeance, et sacrifier leur pulpe d'amour !
L'exotisme exorcisé se voit alors planer avec le peuple des vibrations célestes, peuple endormi dans les purgatoires des expressions affectées à mon amnésie, par l'ensemble de ses paramétrages attelés à cette courte et brève impression explicative
Je suis presque charmé par l'harmonie des envies sacralisées de ce pays sans nom, loués de beaucoup de privilèges éminents, surélever à l'image du vent dans son pinacle archaïque!
Demain, je me sentirai beaucoup mieux et la vie sera plus clémente avec mon lézard indigène!
Illisible et on ne perd pour ainsi dire rien....
Toutefois une suggestion à Homere, choisis mieux tes sujets, prohibes les nauséabonds.
C'est pas parce que l'on a des notions d'écriture que tout nous est permis.
#10
Posted 14 October 2006 - 01:03 AM
D'ailleurs, mes frères de combat, bleuis par les chocs en première ligne, devraient être touchés.
C'est promis, nous boirons à la santé de tes muses au retour.
En souhaitant mon ami qu'elles s'accordent à la puissance émouvante de tes neurones...
Tout de même quelle lucidité aiguisée. Comment fais-tu Ô Homère pour vivre à nos côtés? Fuis, fuis, Le parthénon est en travaux, apporte je t'en prie, la dernière pierre à l'édifice. Car les Dieux sont avec toi.
Pssst...Homère, tant que tu y es, dans l'avion qui te conduira à Athènes, rélis le bescherell...L'orthographe et ses règles te dépassent, je le comprends, mais un texte sans une faute à chaque ligne, ça le fait plus.
Bisous mon Lucide.
Toutefois une suggestion à Homere, choisis mieux tes sujets, prohibes les nauséabonds.
C'est pas parce que l'on a des notions d'écriture que tout nous est permis.
je t'envoie à la même réponse faite à l'autre pantin
#11
Posted 14 October 2006 - 06:22 AM
Aussi simple que ça...
Brouillon...comme ton coeur apparemment.
Ô je t'aime mon Homère!
#12
Posted 14 October 2006 - 12:18 PM
Aussi simple que ça...
Brouillon...comme ton coeur apparemment.
Ô je t'aime mon Homère!
Va voir ailleurs maintenant, peut être qu'on te prendra comme ami, et si tu es sages, sage comme une image on t'adoptera peut être!
#13
Posted 14 October 2006 - 08:36 PM
Mais qu'est-ce que tu racontes, toi!
Alors comme ça, on fait l'éloge d'Homère et tu prends ça au sérieux!
Ne vois-tu pas que le pseudo aède souffre d'une stéatose stercorale? Un cas unique et des plus intéressants.
Un peu de compassion, stp.
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