Nuit Blanche
Started by Jacques Adamski, Feb 22 2006 02:41 AM
9 replies to this topic
#1
Posted 22 February 2006 - 02:41 AM
La nuit noire était blanche
Et le café très noir
T'en souviens-tu la nuit
De ces heures sans fin
Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre
La nuit noire était blanche
Le café déjà bu
Il y reste le marc
Y voit-on l'avenir?
Tiens c'est déjà demain
Et le marc n'y voit rien
La nuit noire était blanche
Il en reste
Quelques mots
Et le café très noir
T'en souviens-tu la nuit
De ces heures sans fin
Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre
La nuit noire était blanche
Le café déjà bu
Il y reste le marc
Y voit-on l'avenir?
Tiens c'est déjà demain
Et le marc n'y voit rien
La nuit noire était blanche
Il en reste
Quelques mots
#2
Posted 22 February 2006 - 02:51 AM
...
#3
Posted 22 February 2006 - 03:27 AM
Sympa, les mots de cette nuit blanche...
Moi aussi, j'ai tendance à me faire des nuits blanches à carburer au petit noir
Mais tant qu'on ne se fait pas des journées noires à carburer au petit blanc...
Amicalement
Moi aussi, j'ai tendance à me faire des nuits blanches à carburer au petit noir
Mais tant qu'on ne se fait pas des journées noires à carburer au petit blanc...
Amicalement
#4
Posted 22 February 2006 - 03:34 AM
Citation (Paname @ Feb 22 2006, 03:27 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Sympa, les mots de cette nuit blanche...
Moi aussi, j'ai tendance à me faire des nuits blanches à carburer au petit noir
Mais tant qu'on ne se fait pas des journées noires à carburer au petit blanc...
Amicalement
Moi aussi, j'ai tendance à me faire des nuits blanches à carburer au petit noir
Mais tant qu'on ne se fait pas des journées noires à carburer au petit blanc...
Amicalement
merci pour ce sourire que tu m'as donné... j'en avais besoin
amitiés
#5
Posted 22 February 2006 - 03:35 AM
Quelques mots sans doute auront soutenu nos vies
Enfin à la clarté nous pourrions dire n'avoir rien
La vie après la vie entre ombre et lumière
Qu'en reste-t-il que je me souvienne pourtant
De mes rêves de toi de nous et puis et puis
Rien nous nous sommes envolés au paradis terrestre
Comme nous l'avions souhaité où rien n'existe
Sauf nous et nous inventions encore le moyen de dire
De vivre alors même que nous n'avions à peine
entrevu la lumière chère lumière de nos nuits
disparue
Enfin à la clarté nous pourrions dire n'avoir rien
La vie après la vie entre ombre et lumière
Qu'en reste-t-il que je me souvienne pourtant
De mes rêves de toi de nous et puis et puis
Rien nous nous sommes envolés au paradis terrestre
Comme nous l'avions souhaité où rien n'existe
Sauf nous et nous inventions encore le moyen de dire
De vivre alors même que nous n'avions à peine
entrevu la lumière chère lumière de nos nuits
disparue
#6
Posted 22 February 2006 - 06:57 AM
j'ai beaucoup aimé,
Amitiés
valérie
Amitiés
valérie
#7
Posted 22 February 2006 - 09:13 AM
nuit noire, où les murs s'effondrent !
tout est possible ! j'ai aimé
amitié
tout est possible ! j'ai aimé
amitié
#8
Posted 22 February 2006 - 12:29 PM
De ces mots échangés
Outre les ponts
Naissent parfois des murs
Fondations.
Outre les ponts
Naissent parfois des murs
Fondations.
#9
Posted 22 February 2006 - 12:43 PM
Citation (Jacques Adamski @ Feb 22 2006, 02:41 AM) <{POST_SNAPBACK}>
La nuit noire était blanche
Et le café très noir
T'en souviens-tu la nuit
De ces heures sans fin
Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre
La nuit noire était blanche
Le café déjà bu
Il y reste le marc
Y voit-on l'avenir?
Tiens c'est déjà demain
Et le marc n'y voit rien
La nuit noire était blanche
Il en reste
Quelques mots
Et le café très noir
T'en souviens-tu la nuit
De ces heures sans fin
Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre
La nuit noire était blanche
Le café déjà bu
Il y reste le marc
Y voit-on l'avenir?
Tiens c'est déjà demain
Et le marc n'y voit rien
La nuit noire était blanche
Il en reste
Quelques mots
Nuit blanche quand tu deviens noire !
Combien de douleurs dans le reflet des mots qui s'écrivent sur les miroirs ?
J'aime beaucoup, pour ce que cela me rappelle de souvenirs,
"Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre"
Alors je ne sais pas bien entendu ce qu'il y a derrière tous tes mots, ni le sens qu'il faudrait donner au fait qu'ils sont publiés à 3 H du mat, mais, du fond du coeur Jacques, si c'était le cas,si c'était de la déprime, courage ! On s'en sort. Et les nuits redeviennent blanches. Mais de ces nuits là, on en redemande . Je te les souhaite belles, belles.
Amitiés
#10
Posted 23 February 2006 - 02:06 AM
Citation (smoke @ Feb 22 2006, 12:43 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Nuit blanche quand tu deviens noire !
Combien de douleurs dans le reflet des mots qui s'écrivent sur les miroirs ?
J'aime beaucoup, pour ce que cela me rappelle de souvenirs,
"Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre"
Alors je ne sais pas bien entendu ce qu'il y a derrière tous tes mots, ni le sens qu'il faudrait donner au fait qu'ils sont publiés à 3 H du mat, mais, du fond du coeur Jacques, si c'était le cas,si c'était de la déprime, courage ! On s'en sort. Et les nuits redeviennent blanches. Mais de ces nuits là, on en redemande . Je te les souhaite belles, belles.
Amitiés
Combien de douleurs dans le reflet des mots qui s'écrivent sur les miroirs ?
J'aime beaucoup, pour ce que cela me rappelle de souvenirs,
"Où à force de café
On oubliait nos peines
Où à force d'écrire
On en revient à vivre"
Alors je ne sais pas bien entendu ce qu'il y a derrière tous tes mots, ni le sens qu'il faudrait donner au fait qu'ils sont publiés à 3 H du mat, mais, du fond du coeur Jacques, si c'était le cas,si c'était de la déprime, courage ! On s'en sort. Et les nuits redeviennent blanches. Mais de ces nuits là, on en redemande . Je te les souhaite belles, belles.
Amitiés
merci 3h du mat' n'est-ce pas l'heure de l'inspiration?
Quand les rêves ne viennent pas restent les mots
Amitiés
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